Depuis le début de l’année, pas une semaine ne passe sans annonces de naufrages et de décès en Méditerranée. Les derniers drames furent spectaculaires et nous pouvions les voir presque en temps réels. Pourtant je sais que si j’étais migrante économique ou victime de persécution dans mon pays je ferais la traversée à n’importe quel prix et par n’importe quel temps, le plus vite possible même si je risque la mort.
J’explique pourquoi sur mon blog du Temps: cliquez ici pour lire mon article.
Bonjour Jasmine,
Incroyablement documenté, ton dernier blog. Pour moi qui ne suis pas du tout branché sur les site hors de Suisse, c’est vraiment très utile.
Et notre café ? Depuis que j’ai compris que tu n’étais pas seulement très active dans le domaine de l’asile, mais aussi une mère de famille qui doit jongler avec tout ce que ça implique, je désespère encore plus de te voir un jour…
Mais comme je suis un peu têtu, je t’indique que je suis à Genève jusqu’au 24 juin, toujours prêt à m’adapter à un rendez-vous que tu me proposerais, puis que je serai absent jusqu’au 24 juillet, et ensuite encore du 6 au 13 août.
Peut-être que tu trouveras un moment ? Il y a parfois des miracles, dans la vie.
Amicalement, Yves